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Et vogue le navire !
Honnêtement, je pourrais compter, jusqu'à présent, le nombre d'envie sur les doigts de mes mains depuis l'arrêt.
Ma seule véritable appréhension concerne la reprise du boulot lundi prochain. Car, durant les vacances, je n'ai quasiment jamais été en contact avec des fumeurs. Ce sera bien différent dans le cadre du travail ou une bonne partie fume.
Il n'y a pas de raison à ce que je craque mais les tentations seront plus fortes. D'autant que la rentrée sera tout de suite "speed" !
A part cette légère angoisse, rien de bien fameux à signaler.
Physiquement, je suis enrhumé, j'ai mal au dos et j'ai toujours un petit mal à la tête. ( mais bon, je vais pas tout mettre sur le dos du sevrage ! )
Mentalement, je me sens beaucoup mieux. Le fait de ne pas boire aide considèrablement à se sentir plus égal même si l'appel de l'ivresse sonne parfois dans un recoin de mon cerveau.
Je fais attention à mon alimentation et sens une énergie nouvelle apparaître.
Jour après jour, l'idée même de fumer s'évapore et j'y pense de moins en moins. C'est le soir que cela reste "imprimé".
Je tente de trouver de nouvelles parades. Je me confectionne un cocktail de fruits par exemple que je sirote longuement.
En tout cas, quel plaisir de vivre sans !
Honnêtement, je pourrais compter, jusqu'à présent, le nombre d'envie sur les doigts de mes mains depuis l'arrêt.
Ma seule véritable appréhension concerne la reprise du boulot lundi prochain. Car, durant les vacances, je n'ai quasiment jamais été en contact avec des fumeurs. Ce sera bien différent dans le cadre du travail ou une bonne partie fume.
Il n'y a pas de raison à ce que je craque mais les tentations seront plus fortes. D'autant que la rentrée sera tout de suite "speed" !
A part cette légère angoisse, rien de bien fameux à signaler.
Physiquement, je suis enrhumé, j'ai mal au dos et j'ai toujours un petit mal à la tête. ( mais bon, je vais pas tout mettre sur le dos du sevrage ! )
Mentalement, je me sens beaucoup mieux. Le fait de ne pas boire aide considèrablement à se sentir plus égal même si l'appel de l'ivresse sonne parfois dans un recoin de mon cerveau.
Je fais attention à mon alimentation et sens une énergie nouvelle apparaître.
Jour après jour, l'idée même de fumer s'évapore et j'y pense de moins en moins. C'est le soir que cela reste "imprimé".
Je tente de trouver de nouvelles parades. Je me confectionne un cocktail de fruits par exemple que je sirote longuement.
En tout cas, quel plaisir de vivre sans !
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